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SECTION II : Elle s’appuie sur le savoir

Illuminer le monde à l’échelle atomique avec un faisceau plus brillant que le soleil. University of Saskatchewan.
Par
Sharon Oosthoek
Établissement(s)
Université McGill
University of Saskatchewan
University of Waterloo
Sujet(s)
Matériaux
Astrophysique
Neurosciences
Une grande structure, en forme de patinoire, composée de gros tuyaux en métal occupe tout l’espace d’une immense salle circulaire. Un ensemble de cristaux de protéine, telles des perles roses, vertes, bleues et blanches, sont photographiés sur fond mauve.

Des électrons qui se déplacent à haute vitesse dans l’accélérateur circulaire du Centre canadien de rayonnement synchrotron, à la University of Saskatchewan, génèrent un rayonnement électromagnétique des millions de fois plus brillant que la lumière du soleil. Les chercheurs choisissent alors une longueur d’onde précise afin d’effectuer des observations à l’échelle atomique. Par exemple, la cartographie de plus de 750 cristaux de protéines, à droite, permet de construire un répertoire mondial des molécules biologiques pouvant mener à de nouveaux traitements pour toute une gamme de maladies, des infections virales au cancer.

Mention de source : Centre canadien de rayonnement synchrotron


Photo d'une étoile à neutrons couplée à une photo de l'astrophysicienne Vicky Kaspi.

Tenter de comprendre l’Univers : la plus grande leçon d’humilité. Université McGill.

Représentation artistique d’un pulsar double, formé d’un type d’étoile à neutrons émettant un signal radio périodique. Les chercheurs croient que les étoiles à neutrons sont le résidu compact laissé par l’explosion cataclysmique marquant la « mort » d’une étoile massive. Des scientifiques de l’Université McGill, dont l’astrophysicienne Vicky Kaspi (photographie), étudient ces corps célestes pour comprendre la nature de la matière extrêmement dense qui se trouve au cœur des étoiles à neutrons et pour mettre à l’épreuve la théorie de la relativité générale d’Einstein.

Mention de source :  Université McGill, NCS Multimédia de l’Université McGill, animation de Daniel Cantin; Darwin Dimensions (graphique)


Chris Eliasmith, directeur de l'Université de Waterloo, esquissant des équations sur un tableau blanc.

Construire un cerveau artificiel qui reproduit avec réalisme des comportements animaux et même humains. University of Waterloo.

Directeur du Centre for Theoretical Neurosciences de la University of Waterloo, Chris Eliasmith griffonne les équations qui ont permis la création du modèle de cerveau fonctionnel le plus poussé et performant au monde. Composé de 2,5 millions de « neurones » formant 8 milliards de connexions, le modèle informatisé, hébergé à l’établissement même, représente des parties précises du cerveau, comme le cortex préfrontal et le thalamus. Il peut reproduire de façon réaliste des comportements animaux et humains, dont la perception, la motricité, la cognition et le raisonnement. Les chercheurs s’en servent pour mieux comprendre le fonctionnement normal du cerveau, les troubles neurologiques et les effets des médicaments sur le comportement, ainsi que pour améliorer les intelligences artificielles qui serviront à actionner des robots plus performants.

Mention de source : Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada.

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Manuel posé sur une surface blanche.

Le désir d’améliorer les choses

Un livret commémoratif pour marquer le 20e anniversaire de la Fondation canadienne pour l’innovation