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SECTION XIII : Elle nous garde en santé

Suivre 50 000 participants pendant 20 ans pour vivre nos vieux jours en meilleure santé. McMaster University.
Par
Sharon Oosthoek
Établissement(s)
McMaster University
University of Alberta
Acadia University
Sujet(s)
Vieillissement
Services de santé
Biologie moléculaire
Gros plan de deux mains ensemble sur fond gris-brun, flou. Les mains sont plissées et vieillissantes.

Le Canada connait une modification sans précédent de sa composition démographique. En effet, d’ici les 20 prochaines années, près du quart d’entre nous aura franchi le cap des 65 ans. Pour mieux comprendre les interactions complexes entre les facteurs de santé physique, sociale et psychologique de la population vieillissante et les effets de ces changements sur les politiques et l’économie du pays, plus de 100 chercheurs de 26 Universités canadiennes participent à l’Étude longitudinale canadienne sur le vieillissement de la McMaster University. Cette étude, qui compte 50 000 hommes et femmes que l’on suivra pendant 20 ans, est la plus vaste et exhaustive du genre au monde.

Mention de source : iStock


Gros plan d'un pansement noir.

Utiliser des nanotechnologies pour accélérer la guérison des grands brulés. University of Alberta.

Les infections sont l’une des complications les plus dangereuses durant le traitement de grands brulés. Or, la toute première application mondiale de nanotechnologies à des fins thérapeutiques réduira les risques d’infection chez ces patients. Il s’agit d’un pansement qui libère graduellement différentes formes d’argent pour tuer les bactéries et réduire l’inflammation. D’abord testé à la University of Alberta, puis utilisé dans des hôpitaux du monde entier, le pansement augmente le taux de guérison, réduit la cicatrisation et diminue le recours à des greffes de peau.

Mention de source : M. Goh


Photo d'une molécule qui change de propriétés lorsqu'elle est exposée à la lumière.

Illuminer des molécules pour détruire le cancer et les bactéries. Acadia University.

Une molécule « s’allume » lorsqu’elle est exposée à une longueur d’onde précise du spectre lumineux. En résulte un composé photodynamique qui se modifie en absorbant la lumière et devient toxique pour les cellules cancéreuses et les bactéries, mais redevient normal quand la lumière disparait. Ce type de thérapie ciblée pourrait révolutionner le traitement du cancer de la vessie, la cinquième forme la plus fréquente de cette maladie au Canada et la plus couteuse à traiter. Les chercheurs de la Acadia University de la Nouvelle-Écosse conçoivent des molécules photodynamiques à cet effet. Les molécules les plus efficaces (celles qui deviennent toxiques, ou « s’allument » rapidement et « s’éteignent » tout aussi vite quand la lumière disparait) sont actuellement testées sur des humains.

Mention de source : Marc Hetu

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Manuel posé sur une surface blanche.

Le désir d’améliorer les choses

Un livret commémoratif pour marquer le 20e anniversaire de la Fondation canadienne pour l’innovation